Quelques journalistes, patrons de presse, techniciens ou éditorialistes, qui par ailleurs peuvent être sympas, se permettent quasi d’emblée de traiter des bénévoles engagés de « spammeurs » ou « trolls ». Assez odieux !
Y’a d’un côté, les concernant, en somme, celles et ceux qui sont rémunérés, font carrière, dans des hiérarchies pro’, de diffusion d’information/com’. Se résumant à l’occupation de l’espace, auto légitimée par cette nomenklatura, a fortiori.
Et de l’autre, des personnes dévouées, claquant leur peu de temps libre et leur fric, comme leur relationnel bien souvent, pour partager ; et qui se font pourtant ainsi clasher, de leur mobilisation pour x causes altruistes (sans abus réel, sauf à rentrer en résistance via la désobéissance civique, parfois).
Au fait, qui squattent les postes, plateaux radios, tv, rédactions et éditoriaux ? Jamais de pub’ bien sur… Ni de concurrence dans ce système exclusif. Zzz !
Au final, ils invoquent quoi ces censeurs ou fonctionnaires zélés : silence et discrétion… Belle absurdité, quant on se doit de renverser la chape de plomb maintenue, par exemple, sur les responsabilités françaises dans le génocide des Tutsi au Rwanda.
Le travail n’a pas été fait. Comme pour la finance internationale, x lâchetés ci et là. Ou des contradictions, dont le sens est relié à l’entre soi, de son propre espace d’expression.
Circulez y’a rien à voir. On râle parce que les gens sont des moutons, et lorsqu’ils se bougent, on cherche aussi à les museler !
Rien de bien très normal, pour ces bons élèves. passés par la sélection des meilleurs cursus. Beau filtre, et énième formatage, à ce niveau.
Matjules